SOENC SANTE : Mobilisation devant l’Unité de Néphrologie de NOUVELLE-CALEDONIE (U2NC)

SOENC SANTE : Mobilisation devant l’Unité de Néphrologie de NOUVELLE-CALEDONIE (U2NC)

SOENC SANTE : Mobilisation devant l’Unité de Néphrologie de NOUVELLE-CALEDONIE (U2NC)

Le SOENC SANTE, s’est mobilisé toute la journée du jeudi 13 janvier 2022 devant l’Unité de Néphrologie de NOUVELLE-CALEDONIE (U2NC) depuis 05h00 du matin.

 

24 grévistes dont plusieurs personnels de l’U2NC, non syndiqués au SOENC SANTE se sont mobilisés pour soutenir un adhérent licencié : Christophe MARGUIN.  Celui ci a participé à trois réunions de négociations qui n’ont eu malheureusement aucun succès.

 

Malgré les inconvénients l’adhérent ne baisse pas les bras. Il a engagé une procédure, avec avocat, devant les tribunaux. Il présentera 17 attestations de soutien de ses collègues de travail justifiant qu’il est un professionnel exemplaire.

 

 

Pour le syndicat, les explications et les raisons données par la Direction ne sont pas recevables.

C’est pourquoi le SOENC SANTE va également adresser trois courriers (deux des élus du SOENC SANTE de l’U2NC et un du Secrétaire général du SOENC SANTE) aux tribunaux pour le licenciement abusif, sans preuves réelles et sérieuses, selon la demande de son avocat.

Les services de police ainsi que les Renseignements Généraux ont couvert l’événement comme à leur habitude

 

 

DÉNONCIATION

 

Le syndicat souhaite dénoncer un des directeurs de l’Unité de Néphrologie de NOUVELLE-CALEDONIE : Jean-Michel TIVOLLIER.
Celui ci est arrivé en vélo à 08h00, sans masque et est rentré dans l’établissement, assez vite, toujours sur son vélo pour fuir les grévistes, ne faisant aucun cas de la mobilisation.

Alors que l’on sait très bien qu’il interpelle souvent le personnel de l’U2NC au respect des règles d’hygiène de l’entreprise.

 

 

 

Joseph IVA délégué syndical au sein de l’U2NC au micro de Radio NC1er :

 

« Un licenciement qui pour notre part n’est pas justifié, les raisons ne sont pas valables. Il ne mérite pas du tout un licenciement direct sans passe par les cases : premier avertissement, deuxième avertissement, mise à pied… là ça été du licenciement direct ! »

« Les raisons évoquées par la Directions ce sont des problèmes au niveau de sa hiérarchie, il y avait une mauvaise entente, des absences injustifiées et des non-représentations aux convocations.»

« On est là pour faire réagir les choses, faire bouger les choses, par ce que l’on se bat non seulement pour notre collègue qui a été licencié abusivement, mais aussi pour tous nos collègues qui sont là et qui travaillent dans la société.»